Bruno, Moniteur DAuto-École (Épisode 5 : Les Retrouvailles)
Ce samedi matin à laube, Virginie se réveilla avec une joie et un enthousiasme hors du commun. Elle allait retrouver son Nono adoré pour une nouvelle leçon de conduite. Toute la nuit, elle avait pensé et espéré ce moment quelle allait vivre avec lui. Un moment de joie et dintimité partagée, fait de confidences et de connivence.
De chez elle, dans la salle de bain, Virginie pensait à lui en se maquillant : un peu de mascara ; du fard à paupières
Elle savait quelle ferait un bel effet auprès de son hôte. Bob remarqua le changement survenu soudainement chez sa belle. Il la trouva belle, désirable mais ne se douta de rien.
En partant de chez elle, la belle avait revêtu une robe à manche courte imprimée de fleurs minuscules et qui lui allait bien, tout en élégance. Sa poitrine était mise en valeur par un col en V. Dans la voiture, au premier instant du cours de conduite, Bruno la complimenta sur sa tenue :
- « Tu es de plus en plus belle ! »
- « Merci ! » répondit la belle, flattée.
Virginie navait pas sitôt démarré le véhicule que Bruno ajouta :
- « Je temmène comme la dernière fois ? »
- « Pourquoi pas, mais il faut quon travaille aussi. Je te rappelle que cest ma mère qui paye les cours de conduite. Je ne veux pas la décevoir. »
- « Ne tinquiète pas pour cela, tu ne la décevras pas. »
Bruno, sans le vouloir, jouait sur les mots. Son excitation, à la seule vue de ma princesse, était à son comble. A lapproche du petit village auprès duquel se trouvait le fameux petit parking, nen pouvant plus dune conversation qui laguichait constamment, il entreprit sans plus attendre de se déshabiller en baissant son futal au-dessous de ses genoux.
- « Attention, tu vas attr froid ! » soutint Virginie, en rigolant.
- « Tu vas me réchauffer ! » répondit Bruno.
- « On nest même pas arrivé ! » précisa la belle, avec effarement.
- « Non, mais ça ne fait rien, jai trop envie de toi, là », rétorqua lhomme.
Virginie était troublée de cette discussion et de la tournure que cette dernière prenait au fur et à mesure des dialogues qui avançaient vers la débauche et la luxure. La belle en était effarouchée mais le devint vite de moins en moins, sous limpulsion de Bruno, son Nono disait-elle. Lamour, la connivence, la complicité étaient de circonstances. Sur le petit parking fait de terre battue et entourée de forêts, lhabitacle de la voiture à double commande était leur seul refuge. Virginie se gara, coupa le moteur. Elle obéissait aux ordres de Bruno.
- « Que fait-on maintenant ? » demanda-t-elle.
- « Devine ! » sexclama Bruno.
Virginie regarda Bruno, interloquée par le silence. Lhomme prit la main de ma dulcinée et la posa sur son sexe. La belle le caressait de haut en bas, délicatement, doucement, scrutant des yeux un spectacle quelle naurait su voir ailleurs.
- « Elle est grosse ! », releva Virginie en parlant de ce quelle tenait dans les mains.
- « Oui, très grosse ! », répondit Bruno, excité.
- « Je pense quelle est plus grosse que celle de mon copain ! » ajouta Virginie dans un instant de silence où la belle branla délicatement son hôte aux yeux ténébreux et au corps dathlète.
- « Cest sûr ! Je nen doute pas ! » rétorqua Bruno.
- « Il adore quand je le suce ! » confessa Virginie à Bruno, tout en le caressant.
- « Hum, trop bon ça, fit Bruno. Et tu suces beaucoup ? » demanda Bruno dans le même état dexcitation.
Virginie était gênée par la question de Bruno. Elle tenait pourtant la bite de son hôte dans la main et le caressait délicatement en regardant Nono tantôt dans les yeux, tantôt en dévorant du même regard la queue du maitre quelle avait saisie promptement.
- « Euh, je suis obligée de répondre à ça ? » dit-elle, embarrassée.
- « Oui, tu es obligée », lui somma Bruno dun ton sévère mais bienveillant.
Virginie contempla les gestes quelle prodiguait avec douceur à son hôte. Bruno maitrisa son excitation pour faire durer le plaisir.
- « Disons que je le suce aussi souvent quil le veut », ajouta la belle après un temps de réflexion.
- « Tu es sérieuse ? » sétonna Bruno.
- « Oui, assura Virginie. Parfois même, je le suce plusieurs fois par jour ; ou par nuit. Cela dépend, quand on est ensemble ou pas. »
- « Waouh ! » fit Bruno, impressionné.
- « Genre, combien de fois ? » renchérit-il.
- « Humm, trois fois dans une nuit et deux fois dans la journée », précisa la belle.
- « Genre, cinq fois en 24 heures ? » sinterrogea Nono.
- « Oui, cest ça ! Cinq fois en 24 heures » confirma Virginie. « Mais, ce nest pas tout le temps comme ça ».
- « Jespère bien ! » sétonna Bruno.
- « Oui, il a de gros besoins ! »
- « Je crois que moi aussi jai de gros besoins », rétorqua Bruno.
Sur ces paroles, Virginie se décida à sucer Nono mais nosa le faire sans son consentement exprès.
- « Suce-moi ! » ordonna Nono.
Virginie prit le sexe de plus belle dans sa main en le tenant plus fermement. Elle approcha son visage du gourdin en regardant dabord Nono dans les yeux et en relevant ses cheveux en arrière :
- « Ok. Je veux bien te sucer mais tu néjacules pas dans ma bouche », précisa la belle.
- « Pourquoi ? tu fais ça aussi ? » demanda Bruno.
Virginie commença à sucer lhomme, posant délicatement ses lèvres sur le gland de son hôte. Bruno attendait la réponse à sa question mais celle-ci ne vint pas. La belle avait désormais son sexe tout entier dans la bouche et refusait de répondre. Son corps était penché vers lentre-cuisse de notre homme. Ses mains avaient depuis longtemps quitter le volant pour se poser sur ce sexe quelle désirait depuis plusieurs jours.
Dans lhabitacle, sur le parking, Nono se cramponnait à laccoudoir de la portière chaque fois que ma belle le prenait tout entier dans sa bouche.
Nono voulut soudain poser sa main sur les cheveux de ma copine pour lencourager à sucer plus vite. La belle comprit très vite ce que son hôte voulut. Lhomme accompagna alors les mouvements de la tête de ma chérie du haut vers le bas en la lagrippant par les cheveux.
- « Humm, tu es une belle salope, toi ! » lâcha-t-il.
Virginie naimait pas trop les insultes et les grossièretés quun homme pouvait professer. Mais force est de constater que ce jour, elle nen prêta aucune attention. Concentrée sur cette queue quelle voulait faire jouir, elle espérait secrètement que Nono lui éjacule au fond de la gorge. Lhomme seulement avait-il compris son message ? « Je veux bien te sucer mais tu néjacules pas dans ma bouche ! ».
Nono ne releva pas le défi, pensant que la belle naimait vraiment pas avaler. Il ne savait pas, au fond de lui, que la belle était demandeuse. Virginie avait été la première donner ce plaisir à lhomme de sa vie. Elle savait combien cela était un plaisir immense pour un homme et voulait donner la même chose à Bruno.
Dans un râle de plaisir, Bruno accéléra cependant la cadence et tint toujours ma dulcinée par les cheveux. Il la regardait faire, découvrant du regard son profil, ses yeux, ses cheveux, sa bouche. Elle avait une allure de princesse, de fée ou de reine. Sa beauté était sans pareille. La belle engloutissait la verge jusquà la garde. Brusquement, elle fit sortir le sexe luisant de salive quelle avait en bouche :
- « Tu ne veux pas jouir dans ma bouche ? » questionna-t-elle, sadressant à Bruno.
Lhomme était interloqué. Soudainement, il reprit avec vigueur ma dulcinée par les cheveux et la força à sucer sur-le-champ et rapidement, son sexe juteux et bandé à souhait. Ma belle suivit la cadence imposée par son nouveau maitre.
Fin de la 5ème partie.
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